Pour ne pas se tromper, il suffit de tester
C'est une longue et douloureuse histoire qui a commencé à Dijon lorsque, dès ma naissance, la sage-femme s'est exclamée en me voyant « Comme il écran ! ». De fait, je faisais déjà le double de ma taille actuelle, laquelle ne cesse de réduire inexorablement depuis. J'envisage d'ailleurs l'achat de talonnettes afin de pallier une probable inaptitude à la conduite dans les années à venir. Et dire que les smartphones, eux, ne cessent de grandir !
Vous n'imaginez pas... Toute ma vie n'a été qu'une lutte acharnée pour me défaire de la malédiction des écrans. Tenez, lorsque je ne travaillais pas bien à l'école, mes parents m'obligeaient à regarder « Les dossiers de l'écran » pour me punir, ce qui non seulement me mettait à cran, mais en plus me faisait mal au crâne, lequel est un anagramme du mot écran. Une ma-lé-dic-tion je vous dis !
Pensez-vous ! Dès les premiers rayons de soleil, ma grand-mère me tartinait d'écran total ! Elle me disait « Mets de l'écran, sinon, tu vas prendre trop de couleurs ». Et dire que les écrans, eux, ne cessent d'en avoir plus, des couleurs... Il y a de quoi se noyer dans le mojito pour éviter de broyer du noir, je vous jure.
Tout à fait, les mots comptent triplement pour moi, car ils font écran (vous voyez, ça continue !) à mes névroses et autres angoisses les plus profondes. Sans eux mes maux seraient bien plus difficiles à supporter, et c'est déjà loin d'être un jeu...
J'ai toujours eu l'espoir de la délivrance en point de mire. Alors pour qu'un jour les écrans ne m'empêchent plus de dormir, je veille, tout simplement.
® Crédit photo René Schwerdtel
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Tout d'abord, le plaisir de pouvoir s'asseoir dans un bon fauteuil. Rien à voir avec mon siège de tous les jours qui rimait plus avec éjectable qu'avec confortable. Pour moi, tout va donc comme sur des roulettes. Et avec ce siège de compétition, je suis certaine de remporter les prochaines 24 heures du bureau. D'autant plus que comme le répète sans cesse ma coiffeuse « Christine, vous êtes la reine de l'épingle à cheveux ».
C'est un des autres privilèges de la fonction. Être la première à poser les mains sur le journal, à déplier soigneusement les pages et à humer la bonne odeur des nouvelles fraîches imprégnée de l'encre des rotatives. Le travail de l'équipe, c'est important dans notre métier.
Sur un malentendu, comme dirait mon idole Jean-Claude Dusse ! Mon patron était sorti, un paparazzi passait par là, il a suffi d'une seule photo et la nouvelle s'est répandue comme une traînée de poudre. Le reste c'est de l'history, comme on dit.
Comme le dirait Julio Iglesias « Toi non plus, tu n'as pas changé » !
® Crédit photo René Schwerdtel
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Pour rester concentré, c'est évident. Mais aussi pour affirmer mon côté Bio Man. Ensuite, on entend souvent qu'il faut manger 5 fruits ou légumes par jour pour être en bonne santé, mais c'est 5 fruits ou 5 légumes ? Alors avec la tomate, le problème est réglé ; c'est les 2 d'un coup. Avec un jus de tomate, on a la pêche et du coup la banane. Pour peu qu'on y ajoute du sel de céleri, on a notre quota de fruits et légumes par jour.
Parce que « violon-soliste », c'était beaucoup moins dans mes cordes. Même si j'adore la musique. Et puis depuis tout pepuis euh tout petit, j'aime créer des trucs, construire, inventer. Mon esprit a toujours vagabondé. On m'a même souvent dit que je planais, alors un métier dans la création, c'était concevable. J'ai toujours chanté aussi, c'est une passion. Mais pas de là à en faire mon métier.
Je ne l'enfouis pas, je vole. Sans fumée, sans alcool, je vole. Je chante et je m'envole. Comme je vous le disais, j'ai toujours plané.
Ce sont de bonnes lettres et une bonne combinaison, bien dosée. D'ailleurs, c'est bien d'oser, surtout dans ce métier. Oser la Joie et les Jeux de mots, les Phrases Percutantes, les « voulez-vous valser Grammaire » et le Graphisme, les Couleurs et la Conception...
Eh non ! Pour tout vous dire, j'avais pensé monter tout seul la « Creative Communication Corporation ». Ou « Conception, Creation & Communication ». J'hésitais beaucoup. Mais m'appelant Christophe, j'en avais déjà assez des C et finalement, tourner autour du pot (« Beating around the bush », in english), m'a décidé à aller rencontrer d'autres pros. Ce qui d'ailleurs m'a épargné une voie qui m'aurait été pénible, une véritable autoroute vers l'enfer (« Highway to hell », in english) car je préfère vraiment travailler en équipe, j'en ai l'un team conviction.
C'est vrai qu'il y a un paradoxe. L'écran ne reste pour moi qu'un outil. J'ai toujours mis en garde mes enfants contre l'invasion des écrans, et voilà que je me retrouve en photo sur internet ! C'est ce que Georges Lucas appelle «la revanche des sites».
À vélo ! Comme vous pouvez le voir.
Non pas du tout ! En fait, j'avais 5 ans lorsque les forces de l'ordre belges, après m'avoir vu conduire, sur la grande digue de Middelkerke, mon « cuistax », - vous savez, ces petites voitures à pédales qui pullulent dans les lieux de villégiature en Belgique - m'ont suspendu à vie, de manière préventive, du permis de conduire.
Au final, ce fut un mal pour un bien car c'est cette anecdote qui inspira le groupe Queen pour leur chanson Bicycle Race.
C'est vrai que, vu les relations compliquées que j'entretenais avec les autorités depuis l'affaire ci-dessus, l'exil s'est révélé être la meilleure solution. Malheureusement, je n'étais pas au bout de mes peines car l'état belge exigeait une compensation pour mon départ. Mon épouse a donc dû sacrifier sa sœur et l'envoyer prendre ma place dans le paysage belge.
J'y suis venu tout à fait par hasard. Sur les bancs de l'école, mes écrits à destination de mes camarades de classe m'avaient valu une certaine réputation, et un professeur qui avait intercepté un de ces messages bien innocents m'avait dénoncé, contre forte récompense, auprès d'un chasseur de tête. Le reste est une histoire banale de rencontres, de passions, d'ascension, de chute et de rédemption.
J'ai prévu de commencer l'année en embrassant ma femme et mes enfants, et en leur présentant mes meilleurs vœux. J'ai aussi reçu une proposition pour faire le Tour de Belgique des brasseries à vélo en 80 jours, et d'en tirer un roman. C'est un projet qui me tient à cœur depuis longtemps, alors j'espère que ça va se faire.
Pas de souci, j'ai l'habitude. Je passe souvent mes vacances à Ibiza, alors les boîtes et moi c'est une longue histoire !
En fait, quand j'étais petite, ma maman me disait toujours « L'important, c'est ce qu'il y dans la boîte ». Du coup, dès qu'on jouait à cache-cache avec mon frère et ma sœur, je perdais toujours. Il leur suffisait de chercher dans les boîtes au grenier pour trouver leur petite sœur adorée. Ensuite, à l'adolescence, j'ai eu un flash en regardant Melrose Place. Ma voie était toute tracée : j'allais faire comme Amanda (Heather Locklear) et bosser dans une boîte de com' !
Oui mais quand on aime sa boîte, c'est facile ! Le rêve maintenant, ce serait de travailler sur le budget My Little Box. Je pense que c'est vraiment fait pour moi. Je suis d'ailleurs une grande collectionneuse de leurs produits.
Peut-être comme un cocktail de couleurs franches, légèrement piquant par moment mais toujours léger et agréable. Une Margarita, par exemple. Autre chose ?
En pleine forme, au taquet, prêt à servir. Vous prenez quel côté ?
Oui, mais la vie est un match voyez-vous, il faut se tenir toujours prêt à renvoyer la balle plus fort que l'autre. J'en ai pris conscience au lycée un jour où je me suis fait racketter en sortant d'un cours. Battu à terre, il m'a fallu fédérer mes camarades pour gagner aux poings.
Je dirais qu'étant un papa et mari comblé, un directeur digital épanoui et un tennisman aguerri, j'ai un peu réalisé le grand chelem en trois sets gagnants. Reste à remporter la coupe des vices, mais ma femme résiste pour prouver qu'elle existe.
Non, même alité en Italie, et quelles que soient les modalités, jamais je n'altérerai la spontanéité de mes paroles, fut-ce une litanie, et fus-je en Lituanie.
Paradoxalement, de mon grand-père. Peu scrupuleux, il avait fait fortune dans le Massachusetts en vendant du whisky à prix d'or aux fermiers locaux à l'époque de la prohibition. Embourbés et toujours à la bourre, les pauvres avaient le bourdon de ne plus avoir de bourbon. Attrapé, emprisonné, puis libéréééé, délivréééé à un âge assez avancé, mon grand-père n'eut pas le temps d'écouler son stock d'alcool. Du coup, je n'ai jamais connu l'ivresse de la malhonnêteté, car je sais que l'alcool peut être mauvais.
Je suis obligé de le boire, il me l'a légué dans son testament. Mais malheureusement, je déteste cela ! Alors du coup, à chaque fois que je me verse un whisky, c'est moi qui trinque.
Oui, des glaçons. Sinon c'est vraiment amer à boire.
® Crédit photo René Schwerdtel
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Depuis ma naissance. J'ai toujours entendu dire que les enfants naissent dans les choux, et bien moi, je suis née dans un arbre, c'est comme ça ! Depuis, je m'accroche aux branches pour ne pas tomber plus bas que terre.
Heureusement, j'ai trouvé une solution pour éviter de prendre racine : j'ai une baguette magique qui me permet de me téléporter en un éclair là où on a besoin de moi. Par exemple, tous les matins, je me téléporte au boulot, dans la jungle urbaine. Et croyez-moi, j'envoie du bois !
Je retourne sur mon arbre et je me réhydrate. Avec de l'eau, du lait, des jus de fruits, et aussi un peu de vin rouge. J'aime bien le vin car ce n'est pas trop fort, ça évite d'avoir la gueule de bois. Dans ma situation, c'est préférable pour éviter de passer inaperçue.
Tout à fait ! Chaque jour, je suis sciée de voir à quel point je m'épanouis dans la création graphique. C'est vraiment ma deuxième nature. Mes idées sont un peu comme les feuilles de mon arbre, elles se renouvellent à l'infini pour réinventer la vie qui nous entoure.
Merci de votre conseil... Je vais m'éditer.
® Crédit photo René Schwerdtel
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Chut il faut pas le dire ! C'est vrai que je suis née dans le Nord de la France, à la campagne, au milieu des choux et des roses. Mais ça c'était avant !
Bien essayé mais vous n'êtes pas près de me faire chanter, surtout de l'opéra. Je ne peux plus en entendre depuis que mon père, tintinophile averti, a reçu, un beau jour de Noël, « Les bijoux de la Castafiore » en livre-audio. Très instructif, je vous le conseille.
Si le coin est suffisamment grand pour y faire un peu de yoga, que le rosé est bon et la lecture intéressante, pourquoi pas... En tout cas, ça vaut la peine d'essayer !
Choisir LA bonne couleur dans une gamme Pantone c'est un peu comme choisir le bon plat au restaurant chinois, c'est chaud !!! Ce n'est pas pour rien qu'ils utilisent tous les deux des numéros pour qu'on s'y retrouve.
Oui par contre je n'aime pas qu'on me mène à la baguette. J'apprécie surtout la culture asiatique et le zeste de zen qui va avec !
Commencement !
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C'est une très longue histoire de famille. La voisine de mon arrière-arrière-grand-père, chanteuse de métier, était comme on dit chez nous « una grande vocce », une grande voix, tandis que lui travaillait dans les chemins de fer. Ils tombèrent amoureux et c'est donc logiquement que mon arrière-grand-mère naquit sur une voie ferrée. Par voie de conséquence, mon arrière-grand-mère écouta toute sa vie le répertoire de Léo Ferré, et prénomma son fils ainé, je vous le donne en mille... Léo ! Très fier de son prénom, mon grand-père Léo rédigea une charte familiale à durée indéterminée pour que tous ses descendants se fassent appeler « untel de Léo ». Hugo De Leo pour ma part.
C'est peu de le dire ! Depuis ma tendre enfance, ma mère ne m'a jamais laissé seul une seule journée. Petit, elle me cachait dans son sac pour que je puisse la suivre au travail. Adolescent, elle se déguisait en agent de sécurité routière pour vérifier que je traversais bien sur le passage protégé situé devant mon lycée. Et aujourd'hui, c'est le comble : elle m'oblige à travailler avec elle dans la même société ! Du coup, je passe mes nerfs en cassant des baguettes toute la journée sur des ventilateurs. C'est mon psychiatre qui m'a conseillé cette thérapie, et, même si c'est un peu bruyant pour mes collègues, ça fonctionne.
En fait, pas exactement... J'ai choisi ce métier avant tout par passion. Mais, même si je sais que ma mère accepterait un jour de couper le cordon, j'avoue que je me sens protégé lorsqu'elle est là, comme un petit oiseau qui n'aurait pas vu grandir ses ailes et aurait peur de s'envoler. Mais surtout, j'économise des frais d'essence, de nourriture... Ce qui me permet de payer des cocktails à mes potes... et à ma mère du coup !
® Crédit photo René Schwerdtel
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Je voudrais d'abord remercier tous mes canards sans qui rien n'aurait été possible. Ils ont toujours été présents pour moi : quand j'étais dans le bain jusqu'au cou comme quand je faisais la une des canards à sensation. Une attention toute spéciale d'ailleurs pour Riri, Fifi et Loulou qui sont présents aujourd'hui avec moi sur cette photo et qui sont de vrais canards à sensation et pas seulement des canards laquais.
À en croire les cancans, il semblerait que oui... Ceci dit, quand c'est nécessaire je n'hésite pas à jeter un pavé dans la mare... aux canards bien sûr !
Cela va être pour moi l'occasion de voler de mes propres ailes, de lever un peu le pied (après avoir levé la jambe) et de partir à la conquête de l'Amérique. J'adorerais faire un canard avec mon sucre dans un Starbucks à Central Park.
Juste pour des vacances amplement méritées ! Habituellement, je migre plutôt d'une version de logiciel à une autre. Cette fois le dépaysement est garanti.
Rapporter Daffy Duck dans mes bagages, les canards français sont les meilleurs mais une touche internationale ne peut que faire du bien à ma carrière.
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Cela n'était pas prévu, vous l'imaginez bien. Mais, grand défenseur de la cause animale, j'ai voulu laisser passer une mouche dont la trajectoire et la vitesse l'auraient inévitablement conduite à s'écraser sur mon Borsalino, dont je suis aussi un grand défenseur.
Ne chipotons pas pour un chapeau ! Ce ruban, je l'ai utilisé pour remplacer la courroie défectueuse de mon Vespa, qui ne va pas. Le made in Italy, il n'y a que ça de vrai. Pour mes tifs aussi, j'utilise du shampooing sicilien que ma mère m'envoie par avion supersonique, de type Farfalle.
Vous semblez oublier que comme tout Sicilien qui se respecte, je ne suis pas venu sans mes petites mains pour faire du bon boulot. J'ai ainsi placé mon bras droit dans une pizzeria toute proche de JPGC, ma tête pensante au rayon pâtes de Monoprix, et j'ai aussi un pied dans le fromage (l'odeur du fromage n'y étant pour rien, je vous vois venir...).
Oui, une couverture de survie en quelque sorte. Alors pour ne pas être démasqué, je fais tout pour exceller dans mon domaine. Personne ne se doute que j'ai des activités parallèles, au demeurant tout à fait droites, qui me permettent de me sentir « come a casa ».
Volontiers, mais dans ce cas je prendrai un cappuccino. J'aime cette association de sucre, lipides et autres ingrédients malfaiteurs. Et puis ça rime avec mon prénom. Que voulez-vous, dans mes boissons, dans mes faiblesses, je suis rital et je le reste !
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Fier. Gentil. Perfectionniste. Tolérant. Tatoué. Beau. Intelligent. Surdoué. Parfait. Humble.
Pas du tout. C'est un don naturel qui s'est révélé lorsque j'avais 12 ans, alors que l'une de mes prétendantes, sèchement éconduite il est vrai, décida de se venger en me défiant au babyfoot, dont elle était la championne du collège. Elle fut dépassée par la puissance de mes tirs, une balle surpuissante lui ayant même déboîté le poignet.
J'avoue avoir longuement hésité avant d'accepter. Mais chez JPGC, ils avaient un argument de poids : un babyfoot de 45kg, en chêne massif du Jura, joueurs en fonte, barres en acier forgé, balles haute densité à sphérisation laser et géolocalisation satellite. Le must.
Très impliqué dans le milieu associatif, je suis membre honoraire du LOSC, Les Opportunistes Sans Complexes. Il s'agit d'un groupement de joueurs de football passés maîtres dans l'art de rechercher un nouveau club tout en laissant croire qu'ils sont attachés à leur équipe actuelle.
J'y développe mon sens de la stratégie, toujours utile dans un monde soumis à un mercato perpétuel. Et puis, ces histoires de transferts obéissent à une logique implacable, même pour un rugbyman. Alors pour des footballeurs de base, pensez-vous !
Mais si ! Comme j'aime le dire sans cht'i-ch'ti ni modech'ti : en matière de stratégie footballistique, le Swillens est d'or, comme le ballon.
Je suis né dans une famille très aimante, entouré de frères et sœurs joyeusement turbulents. Mon enfance fut donc rythmée par les sempiternels « kicékaféça », « kicékaféci ». Pour donner du grain à moudre à mon attrait inné pour les mathématiques, j'avais pris l'habitude de vider les paquets de café par terre dans la cuisine de mes parents, de compter les grains présents dans chaque paquet et de reporter le résultat de mes expériences dans des tableaux statistiques. C'était aussi l'époque où « Le gringo de Jacques Vabre » était sur toutes les lèvres et dans toutes les tasses... Au moment de choisir un métier, j'ai donc répertorié les métiers où le nombre moyen de cafés ingurgités dans une journée était le plus élevé.
Oui d'autant plus que c'est un domaine où mon expérience des statistiques pouvait aussi apporter de l'eau à mon moulin. Et trier les paquets de datas après les paquets de café, finalement ce n'est pas très différent.
Les délais serrés, les réponses express et être entouré d'autres caféinomanes pas stressés.
De vous à moi... j'ai toujours rêvé d'être cloné !
® Crédit photo René Schwerdtel
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Vous savez : de la Belgique au Brésil, il n'y a qu'un « petit » océan. Ce n'est pas la mer à boire ! Un peu de houblon, un coup de ventilo... Et « Comme un ouragan », « Je m'envole au Paradis, je vais à Rio de Janeiro » ! Vous connaissez la suite. C'est toujours le même refrain depuis les années 80.
En effet ! Même si ça peut paraître incroyable : je ne suis pas Bond... James Bond. Pourtant, comme 007, je possède une arme secrète. Une arme redoutable et infaillible qui peut changer l'ordre du monde... (Attendez quelques secondes), (Encore quelques instants) (Suspense insoutenable) (Nikos Aliagas n'a qu'à bien se tenir !) Mesdames et messieurs, cette arme extraordinaire est... L'I-MA-GI-NA-TION. On l'applaudit bien fort !
Grâce à l'imagination, je peux aller n'importe où sur la planète (et même au-delà), en une fraction de seconde ! Et surtout, je peux devenir exactement qui je veux à tout moment ! Je vais vous donner un exemple concret. Dans mon métier de concepteur rédacteur, je ne suis jamais vraiment moi-même. Quand j'écris, je suis parfois un adulte ou un enfant, un homme ou une femme, un directeur général d'un groupe international ou sa secrétaire, un contrôleur de gestion ou un livreur... Tout dépend du personnage ! Je peux être « minion », « schtroumpf » ou même « Chewbacca » ! Pourquoi pas ? Un rôle au poil... Vous ne trouvez pas ?
D'ailleurs au moment où je vous parle... Je ne suis pas sûr de me trouver en face de vous mais « Je ne suis pas fou, vous savez ! »
Oui, l'imagination est mon moteur bien sûr
Et j'ai aussi une vraie passion pour l'écriture
J'aime jouer sur les mots, trouver les formules clés
Qui font que les clients appuient tous sur « ENTRER » !
Et voilà, ça me reprend... Je parle en alexandrins. Déformation professionnelle. Ça m'arrive. Désolé : je reste parfois bloqué toute la journée. Mais rassurez-vous : ça finit par passer !
De beaux voyages (réels ou imaginaires), des délires (bien réels), des belles rencontres, des histoires (vraies) à raconter... En deux petits mots « M'AMUSER ! »
® Crédit photo Agence JPGC
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Mais bien sûr ! C’est une excellente question à laquelle j’ai moi-même longtemps cherché la réponse dans les livres de philo dont je raffole et qui éclairent mes pensées. Surtout la nuit je dois dire.
Mais vous venez de citer Platon, là, bravo !
Je vous le confirme. Mais c’est paradoxal car bien qu’adepte de philosophie je n’ai moi-même jamais été indisciplinée. Vous êtes un peu la thèse et moi l’antithèse si je puis dire ! D’un naturel posé, j’aime apprendre, comprendre et je suis très organisée. On dit même de moi que je suis une crème. Rien de plus normal puisque pour répondre précisément à votre première question, je viens de Normandie.
Oui, surtout quand je fais le pont. J’en profite alors pour retrouver mes anciennes amies de la troupe des pommes pommes girls du club de basket de ma commune, jumelée avec la ville hollandaise de Boskoop. Raison pour laquelle nous nous faisions appeler «Les Belles de Boskoop». Nous nous dépensions tellement que nous finissions en compote après chaque représentation.
Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute vous répondrais-je. Mais n’en faisons pas un camembert... Je vous dirai simplement que je compte m’investir pleinement dans cette mission et répondre ainsi à une autre question existentielle : « Travailler rend-il libre ? » Quelque chose me dit que j’ai quelques années devant moi pour disserter...
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Bonjour M’sieur !
Désolé c’est un réflexe. Avec mes gros bras j’ai tendance à écrire des gros mots. Je vais tâcher de me concentrer afin de rester poli, promis.
Voilà un calcul que je vais m’empresser de résoudre car j’affectionne les équations mathématiques ! Elles sont loin de m’être inconnues.
Disons que ça arrange tout le monde : ma copine qui aime que je fasse mon maxime-homme pour lui plaire, ma maman qui n’a plus besoin de repasser mes t-shirts, et moi qu’on n’ose plus chambrer quand je dis que je suis né à D’nain (Denain pour les non initiés).
Je développe.
Je suis développeur vous dis-je, mais en langage informatique entends-je. Mes préférés sont php, html/css… Moins il y a de voyelles et plus il y a de chances qu’on sonne à ma porte pour faire appel à mes pouvoirs de Super Développeur.
Je joue du saxophone, cela me permet de souffler après le travail et de muscler mes doigts par la même occasion. Je pousse fort avec l’index pour sortir un son majeur. Surtout le sol car c’est la clé !
Non à vrai dire je joue surtout les thèmes de Star Wars, d’Indiana Jones et de Capitaine Flam. Je n’ai pas trop le choix car je joue avec l’harmonie municipale de ma ville qui, comme son nom ne l’indique pas, fait parfois des fautes d’accord avec les attentes de son public. Heureusement, je les ai convaincus qu’il fallait actualiser un peu notre répertoire. Nous proposerons donc lors de notre prochaine prestation un mash-up du Petit bonhomme en mousse et d’À la queuleuleu version créole. On va tout déchirer, à commencer par mon t-shirt ! Je vous enverrai une invitation.
Je vois très bien ce que vous entendez par là, mais ne prenez pas ce demi-ton avec moi s’il vous plaît ! Cette interview pourrait alors très bien se terminer sur un poing final ;-)